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tapioca
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MessagePosté le: Ven 13 Juil, 2018 14:54 PM    Sujet du message:

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Dans les couloirs du temps qui passe chemine péniblement le Maître du Temps. Il y a des portes qui nous attirent comme un voyageur devant une lumière qui exhorte tout un chacun à laisser aller les choses à ses envies, quelques repères d'un scénario reviennent de temps en temps à la mémoire, dans lesquels apparurent de nombreux symboles, des formes destinées à se métamorphoser, un sentiment d'inventivité, de don de soi exprimé, d'une aura qui brille de l'intérieur, des visions se présentent spontanément dans l’espace infini de l’imagination.
Fidèle au temps passé, lointain ou proche, peu importe, nous sommes propulsés comme sur la vague qui emporte au loin les bateaux avec à son bord les vieux pochtrons, dans les clapotements furieux des marées, le souffle du vent insensé et la pluie diluvienne furent très bénéfiques, l’écume jaillit, frôlant la mouette volage bien loin des amers remarquables, le désir de toucher terre s’éveille. Dans la banalité grise d’un ciel éteint se profilent les chalands, c'est sans doute ici que le Maître médite, ou bien ailleurs, tous les lieux sont propices aux êtres sans peur de Chronos, les étoiles sont là, guidant sagement les marins vers le rivage, dans une part de nous, habite toujours une étincelle de Vie capable de devenir fanal pour guider dans la nuit noire un cheminant en mal d'Amour filial qui mène souvent dans une impasse, on crée des ancrages qui nous permettent d'apporter plus d’ardeur au sein du véhicule physique, mais le corps comme le mental sont encore des moyens d'expression souvent malhabiles sans allégeance avec l'Esprit Divin qui ne peut faire entendre son chant ......
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janeerah
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MessagePosté le: Ven 13 Juil, 2018 15:44 PM    Sujet du message:

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mode 1oh 1oh 1oh 1oh 1oh
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Le difficile prend du temps, l'impossible, un peu plus.

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ondine
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MessagePosté le: Sam 14 Juil, 2018 06:38 AM    Sujet du message:

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Dans les couloirs du temps qui passe chemine péniblement le Maître du Temps. Il y a des portes qui nous attirent comme un voyageur devant une lumière qui exhorte tout un chacun à laisser aller les choses à ses envies, quelques repères d'un scénario reviennent de temps en temps à la mémoire, dans lesquels apparurent de nombreux symboles, des formes destinées à se métamorphoser, un sentiment d'inventivité, de don de soi exprimé, d'une aura qui brille de l'intérieur, des visions se présentent spontanément dans l’espace infini de l’imagination.
Fidèle au temps passé, lointain ou proche, peu importe, nous sommes propulsés comme sur la vague qui emporte au loin les bateaux avec à son bord les vieux pochtrons, dans les clapotements furieux des marées, le souffle du vent insensé et la pluie diluvienne furent très bénéfiques, l’écume jaillit, frôlant la mouette volage bien loin des amers remarquables, le désir de toucher terre s’éveille. Dans la banalité grise d’un ciel éteint se profilent les chalands, c'est sans doute ici que le Maître médite, ou bien ailleurs, tous les lieux sont propices aux êtres sans peur de Chronos, les étoiles sont là, guidant sagement les marins vers le rivage, dans une part de nous, habite toujours une étincelle de Vie capable de devenir fanal pour guider dans la nuit noire un cheminant en mal d'Amour filial qui mène souvent dans une impasse, on crée des ancrages qui nous permettent d'apporter plus d’ardeur au sein du véhicule physique, mais le corps comme le mental sont encore des moyens d'expression souvent malhabiles sans allégeance avec l'Esprit Divin qui ne peut faire entendre son chant.
Sur la longue route qui ne peut voir son but, la félicité se glisse à travers les jours sceptiques…

janeerah a écrit:
mode 1oh 1oh 1oh 1oh 1oh


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tapioca
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MessagePosté le: Sam 14 Juil, 2018 08:48 AM    Sujet du message:

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Dans les couloirs du temps qui passe chemine péniblement le Maître du Temps. Il y a des portes qui nous attirent comme un voyageur devant une lumière qui exhorte tout un chacun à laisser aller les choses à ses envies, quelques repères d'un scénario reviennent de temps en temps à la mémoire, dans lesquels apparurent de nombreux symboles, des formes destinées à se métamorphoser, un sentiment d'inventivité, de don de soi exprimé, d'une aura qui brille de l'intérieur, des visions se présentent spontanément dans l’espace infini de l’imagination.
Fidèle au temps passé, lointain ou proche, peu importe, nous sommes propulsés comme sur la vague qui emporte au loin les bateaux avec à son bord les vieux pochtrons, dans les clapotements furieux des marées, le souffle du vent insensé et la pluie diluvienne furent très bénéfiques, l’écume jaillit, frôlant la mouette volage bien loin des amers remarquables, le désir de toucher terre s’éveille. Dans la banalité grise d’un ciel éteint se profilent les chalands, c'est sans doute ici que le Maître médite, ou bien ailleurs, tous les lieux sont propices aux êtres sans peur de Chronos, les étoiles sont là, guidant sagement les marins vers le rivage, dans une part de nous, habite toujours une étincelle de Vie capable de devenir fanal pour guider dans la nuit noire un cheminant en mal d'Amour filial qui mène souvent dans une impasse, on crée des ancrages qui nous permettent d'apporter plus d’ardeur au sein du véhicule physique, mais le corps comme le mental sont encore des moyens d'expression souvent malhabiles sans allégeance avec l'Esprit Divin qui ne peut faire entendre son chant.
Sur la longue route qui ne peut voir son but, la félicité se glisse à travers les jours sceptiques , dans ces moments de grâce, nous appréhendons par ces instants fugitifs, le fil qui relie et nous lie à tout à chaque Un....
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ondine
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MessagePosté le: Dim 15 Juil, 2018 06:57 AM    Sujet du message:

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Fidèle au temps passé, lointain ou proche, peu importe, nous sommes propulsés comme sur la vague qui emporte au loin les bateaux avec à son bord les vieux pochtrons, dans les clapotements furieux des marées, le souffle du vent insensé et la pluie diluvienne furent très bénéfiques, l’écume jaillit, frôlant la mouette volage bien loin des amers remarquables, le désir de toucher terre s’éveille. Dans la banalité grise d’un ciel éteint se profilent les chalands, c'est sans doute ici que le Maître médite, ou bien ailleurs, tous les lieux sont propices aux êtres sans peur de Chronos, les étoiles sont là, guidant sagement les marins vers le rivage, dans une part de nous, habite toujours une étincelle de Vie capable de devenir fanal pour guider dans la nuit noire un cheminant en mal d'Amour filial qui mène souvent dans une impasse, on crée des ancrages qui nous permettent d'apporter plus d’ardeur au sein du véhicule physique, mais le corps comme le mental sont encore des moyens d'expression souvent malhabiles sans allégeance avec l'Esprit Divin qui ne peut faire entendre son chant.
Sur la longue route qui ne peut voir son but, la félicité se glisse à travers les jours sceptiques , dans ces moments de grâce, nous appréhendons par ces instants fugitifs, le fil qui relie et nous lie à tout un chacun. Avançons plus loin, il est temps de s’aventurer dans des territoires inexplorés...
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tapioca
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MessagePosté le: Dim 15 Juil, 2018 08:58 AM    Sujet du message:

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Sur la longue route qui ne peut voir son but, la félicité se glisse à travers les jours sceptiques , dans ces moments de grâce, nous appréhendons par ces instants fugitifs, le fil qui relie et nous lie à tout un chacun. Avançons plus loin, il est temps de s’aventurer dans des territoires inexplorés en revenant à nos racines dans un passé lointain, écoutons le bruit de la sylve, dans les grands arbres s'ébattent une communauté de primates pratiquant l'épouillage et d'autres activités aussi basiques....
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ondine
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MessagePosté le: Dim 15 Juil, 2018 17:28 PM    Sujet du message:

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Fidèle au temps passé, lointain ou proche, peu importe, nous sommes propulsés comme sur la vague qui emporte au loin les bateaux avec à son bord les vieux pochtrons, dans les clapotements furieux des marées, le souffle du vent insensé et la pluie diluvienne furent très bénéfiques, l’écume jaillit, frôlant la mouette volage bien loin des amers remarquables, le désir de toucher terre s’éveille. Dans la banalité grise d’un ciel éteint se profilent les chalands, c'est sans doute ici que le Maître médite, ou bien ailleurs, tous les lieux sont propices aux êtres sans peur de Chronos, les étoiles sont là, guidant sagement les marins vers le rivage, dans une part de nous, habite toujours une étincelle de Vie capable de devenir fanal pour guider dans la nuit noire un cheminant en mal d'Amour filial qui mène souvent dans une impasse, on crée des ancrages qui nous permettent d'apporter plus d’ardeur au sein du véhicule physique, mais le corps comme le mental sont encore des moyens d'expression souvent malhabiles sans allégeance avec l'Esprit Divin qui ne peut faire entendre son chant.
Sur la longue route qui ne peut voir son but, la félicité se glisse à travers les jours sceptiques , dans ces moments de grâce, nous appréhendons par ces instants fugitifs, le fil qui relie et nous lie à tout un chacun. Avançons plus loin, il est temps de s’aventurer dans des territoires inexplorés en revenant à nos racines dans un passé lointain, écoutons le bruit de la sylve, dans les grands arbres s'ébattent une communauté de primates pratiquant l'épouillage et d'autres activités tout aussi basiques, c'est l'heure exquise où les fossoyeurs de la brousse n'ont rien à surveiller du haut des baobabs, un souffle chaud écrase la savane...
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tapioca
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MessagePosté le: Lun 16 Juil, 2018 14:40 PM    Sujet du message:

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Fidèle au temps passé, lointain ou proche, peu importe, nous sommes propulsés comme sur la vague qui emporte au loin les bateaux avec à son bord les vieux pochtrons, dans les clapotements furieux des marées, le souffle du vent insensé et la pluie diluvienne furent très bénéfiques, l’écume jaillit, frôlant la mouette volage bien loin des amers remarquables, le désir de toucher terre s’éveille. Dans la banalité grise d’un ciel éteint se profilent les chalands, c'est sans doute ici que le Maître médite, ou bien ailleurs, tous les lieux sont propices aux êtres sans peur de Chronos, les étoiles sont là, guidant sagement les marins vers le rivage, dans une part de nous, habite toujours une étincelle de Vie capable de devenir fanal pour guider dans la nuit noire un cheminant en mal d'Amour filial qui mène souvent dans une impasse, on crée des ancrages qui nous permettent d'apporter plus d’ardeur au sein du véhicule physique, mais le corps comme le mental sont encore des moyens d'expression souvent malhabiles sans allégeance avec l'Esprit Divin qui ne peut faire entendre son chant.
Sur la longue route qui ne peut voir son but, la félicité se glisse à travers les jours sceptiques , dans ces moments de grâce, nous appréhendons par ces instants fugitifs, le fil qui relie et nous lie à tout un chacun. Avançons plus loin, il est temps de s’aventurer dans des territoires inexplorés en revenant à nos racines dans un passé lointain, écoutons le bruit de la sylve, dans les grands arbres s'ébattent une communauté de primates pratiquant l'épouillage et d'autres activités tout aussi basiques, c'est l'heure exquise où les fossoyeurs de la brousse n'ont rien à surveiller du haut des baobabs, un souffle chaud écrase la savane , les prédateurs somnolent mais leurs sens demeurent aux aguets ....
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ondine
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MessagePosté le: Mar 17 Juil, 2018 06:12 AM    Sujet du message:

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Dans les couloirs du temps qui passe chemine péniblement le Maître du Temps. Il y a des portes qui nous attirent comme un voyageur devant une lumière qui exhorte tout un chacun à laisser aller les choses à ses envies, quelques repères d'un scénario reviennent de temps en temps à la mémoire, dans lesquels apparurent de nombreux symboles, des formes destinées à se métamorphoser, un sentiment d'inventivité, de don de soi exprimé, d'une aura qui brille de l'intérieur, des visions se présentent spontanément dans l’espace infini de l’imagination.
Fidèle au temps passé, lointain ou proche, peu importe, nous sommes propulsés comme sur la vague qui emporte au loin les bateaux avec à son bord les vieux pochtrons, dans les clapotements furieux des marées, le souffle du vent insensé et la pluie diluvienne furent très bénéfiques, l’écume jaillit, frôlant la mouette volage bien loin des amers remarquables, le désir de toucher terre s’éveille. Dans la banalité grise d’un ciel éteint se profilent les chalands, c'est sans doute ici que le Maître médite, ou bien ailleurs, tous les lieux sont propices aux êtres sans peur de Chronos, les étoiles sont là, guidant sagement les marins vers le rivage, dans une part de nous, habite toujours une étincelle de Vie capable de devenir fanal pour guider dans la nuit noire un cheminant en mal d'Amour filial qui mène souvent dans une impasse, on crée des ancrages qui nous permettent d'apporter plus d’ardeur au sein du véhicule physique, mais le corps comme le mental sont encore des moyens d'expression souvent malhabiles sans allégeance avec l'Esprit Divin qui ne peut faire entendre son chant.
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D'ardentes imaginations se mettent soudain en scène, au cœur de la Matière...
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MessagePosté le: Mer 18 Juil, 2018 06:58 AM    Sujet du message:

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Fidèle au temps passé, lointain ou proche, peu importe, nous sommes propulsés comme sur la vague qui emporte au loin les bateaux avec à son bord les vieux pochtrons, dans les clapotements furieux des marées, le souffle du vent insensé et la pluie diluvienne furent très bénéfiques, l’écume jaillit, frôlant la mouette volage bien loin des amers remarquables, le désir de toucher terre s’éveille. Dans la banalité grise d’un ciel éteint se profilent les chalands, c'est sans doute ici que le Maître médite, ou bien ailleurs, tous les lieux sont propices aux êtres sans peur de Chronos, les étoiles sont là, guidant sagement les marins vers le rivage, dans une part de nous, habite toujours une étincelle de Vie capable de devenir fanal pour guider dans la nuit noire un cheminant en mal d'Amour filial qui mène souvent dans une impasse, on crée des ancrages qui nous permettent d'apporter plus d’ardeur au sein du véhicule physique, mais le corps comme le mental sont encore des moyens d'expression souvent malhabiles sans allégeance avec l'Esprit Divin qui ne peut faire entendre son chant.
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tapioca
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MessagePosté le: Mer 18 Juil, 2018 17:00 PM    Sujet du message:

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MessagePosté le: Jeu 19 Juil, 2018 07:29 AM    Sujet du message:

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Sur la longue route qui ne peut voir son but, la félicité se glisse à travers les jours sceptiques , dans ces moments de grâce, nous appréhendons par ces instants fugitifs, le fil qui relie et nous lie à tout un chacun. Avançons plus loin, il est temps de s’aventurer dans des territoires inexplorés en revenant à nos racines dans un passé lointain, écoutons le bruit de la sylve, dans les grands arbres s'ébattent une communauté de primates pratiquant l'épouillage et d'autres activités tout aussi basiques, c'est l'heure exquise où les fossoyeurs de la brousse n'ont rien à surveiller du haut des baobabs, un souffle chaud écrase la savane , les prédateurs somnolent mais leurs sens demeurent aux aguets dans la chaleur étouffante densifiée d'humidité, à l'ombre des bosquets, les antilopes rêvent.
D'ardentes imaginations se mettent soudain en scène, au cœur de la Matière, le regard s'ouvre sur les portes de la perception quelque part aux antipodes, l'expansion d'un Univers est achevé, les atomes vont retourner à leur composition simplifiée, l’obscurité du monde n’est qu’une ombre, derrière elle, se trouvent une clarté, une joie ineffable...
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MessagePosté le: Jeu 19 Juil, 2018 14:39 PM    Sujet du message:

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Dans les couloirs du temps qui passe chemine péniblement le Maître du Temps. Il y a des portes qui nous attirent comme un voyageur devant une lumière qui exhorte tout un chacun à laisser aller les choses à ses envies, quelques repères d'un scénario reviennent de temps en temps à la mémoire, dans lesquels apparurent de nombreux symboles, des formes destinées à se métamorphoser, un sentiment d'inventivité, de don de soi exprimé, d'une aura qui brille de l'intérieur, des visions se présentent spontanément dans l’espace infini de l’imagination.
Fidèle au temps passé, lointain ou proche, peu importe, nous sommes propulsés comme sur la vague qui emporte au loin les bateaux avec à son bord les vieux pochtrons, dans les clapotements furieux des marées, le souffle du vent insensé et la pluie diluvienne furent très bénéfiques, l’écume jaillit, frôlant la mouette volage bien loin des amers remarquables, le désir de toucher terre s’éveille. Dans la banalité grise d’un ciel éteint se profilent les chalands, c'est sans doute ici que le Maître médite, ou bien ailleurs, tous les lieux sont propices aux êtres sans peur de Chronos, les étoiles sont là, guidant sagement les marins vers le rivage, dans une part de nous, habite toujours une étincelle de Vie capable de devenir fanal pour guider dans la nuit noire un cheminant en mal d'Amour filial qui mène souvent dans une impasse, on crée des ancrages qui nous permettent d'apporter plus d’ardeur au sein du véhicule physique, mais le corps comme le mental sont encore des moyens d'expression souvent malhabiles sans allégeance avec l'Esprit Divin qui ne peut faire entendre son chant.
Sur la longue route qui ne peut voir son but, la félicité se glisse à travers les jours sceptiques , dans ces moments de grâce, nous appréhendons par ces instants fugitifs, le fil qui relie et nous lie à tout un chacun. Avançons plus loin, il est temps de s’aventurer dans des territoires inexplorés en revenant à nos racines dans un passé lointain, écoutons le bruit de la sylve, dans les grands arbres s'ébattent une communauté de primates pratiquant l'épouillage et d'autres activités tout aussi basiques, c'est l'heure exquise où les fossoyeurs de la brousse n'ont rien à surveiller du haut des baobabs, un souffle chaud écrase la savane , les prédateurs somnolent mais leurs sens demeurent aux aguets dans la chaleur étouffante densifiée d'humidité, à l'ombre des bosquets, les antilopes rêvent.
D'ardentes imaginations se mettent soudain en scène, au cœur de la Matière, le regard s'ouvre sur les portes de la perception quelque part aux antipodes, l'expansion d'un Univers est achevé, les atomes vont retourner à leur composition simplifiée, l’obscurité du monde n’est qu’une ombre, derrière elle, se trouvent une clarté, une joie ineffable qui sous-tend la Création , les créatures animées ou qui semblent sans vie, du minéral en passant par le végétal, l'animal , l'homme, et les règnes sur d'autres exoplanètes....
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MessagePosté le: Ven 20 Juil, 2018 07:42 AM    Sujet du message:

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Dans les couloirs du temps qui passe chemine péniblement le Maître du Temps. Il y a des portes qui nous attirent comme un voyageur devant une lumière qui exhorte tout un chacun à laisser aller les choses à ses envies, quelques repères d'un scénario reviennent de temps en temps à la mémoire, dans lesquels apparurent de nombreux symboles, des formes destinées à se métamorphoser, un sentiment d'inventivité, de don de soi exprimé, d'une aura qui brille de l'intérieur, des visions se présentent spontanément dans l’espace infini de l’imagination.
Fidèle au temps passé, lointain ou proche, peu importe, nous sommes propulsés comme sur la vague qui emporte au loin les bateaux avec à son bord les vieux pochtrons, dans les clapotements furieux des marées, le souffle du vent insensé et la pluie diluvienne furent très bénéfiques, l’écume jaillit, frôlant la mouette volage bien loin des amers remarquables, le désir de toucher terre s’éveille. Dans la banalité grise d’un ciel éteint se profilent les chalands, c'est sans doute ici que le Maître médite, ou bien ailleurs, tous les lieux sont propices aux êtres sans peur de Chronos, les étoiles sont là, guidant sagement les marins vers le rivage, dans une part de nous, habite toujours une étincelle de Vie capable de devenir fanal pour guider dans la nuit noire un cheminant en mal d'Amour filial qui mène souvent dans une impasse, on crée des ancrages qui nous permettent d'apporter plus d’ardeur au sein du véhicule physique, mais le corps comme le mental sont encore des moyens d'expression souvent malhabiles sans allégeance avec l'Esprit Divin qui ne peut faire entendre son chant.
Sur la longue route qui ne peut voir son but, la félicité se glisse à travers les jours sceptiques , dans ces moments de grâce, nous appréhendons par ces instants fugitifs, le fil qui relie et nous lie à tout un chacun. Avançons plus loin, il est temps de s’aventurer dans des territoires inexplorés en revenant à nos racines dans un passé lointain, écoutons le bruit de la sylve, dans les grands arbres s'ébattent une communauté de primates pratiquant l'épouillage et d'autres activités tout aussi basiques, c'est l'heure exquise où les fossoyeurs de la brousse n'ont rien à surveiller du haut des baobabs, un souffle chaud écrase la savane , les prédateurs somnolent mais leurs sens demeurent aux aguets dans la chaleur étouffante densifiée d'humidité, à l'ombre des bosquets, les antilopes rêvent.
D'ardentes imaginations se mettent soudain en scène, au cœur de la Matière, le regard s'ouvre sur les portes de la perception quelque part aux antipodes, l'expansion d'un Univers est achevé, les atomes vont retourner à leur composition simplifiée, l’obscurité du monde n’est qu’une ombre, derrière elle, se trouvent une clarté, une joie ineffable qui sous-tend la Création, les créatures animées ou qui semblent sans vie, du minéral en passant par le végétal, l'animal, l'homme, et les règnes sur d'autres exoplanètes, nous résidons dans le monde du présent, mais nous situons nos esprits sur l’ancienne Voie.
Au loin, nous apercevons un lac perdu entre des pins parasols, couverts de nénuphars, à travers un petit chemin couvert d’épines, nous avançons...
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MessagePosté le: Sam 21 Juil, 2018 05:07 AM    Sujet du message:

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Dans les couloirs du temps qui passe chemine péniblement le Maître du Temps. Il y a des portes qui nous attirent comme un voyageur devant une lumière qui exhorte tout un chacun à laisser aller les choses à ses envies, quelques repères d'un scénario reviennent de temps en temps à la mémoire, dans lesquels apparurent de nombreux symboles, des formes destinées à se métamorphoser, un sentiment d'inventivité, de don de soi exprimé, d'une aura qui brille de l'intérieur, des visions se présentent spontanément dans l’espace infini de l’imagination.
Fidèle au temps passé, lointain ou proche, peu importe, nous sommes propulsés comme sur la vague qui emporte au loin les bateaux avec à son bord les vieux pochtrons, dans les clapotements furieux des marées, le souffle du vent insensé et la pluie diluvienne furent très bénéfiques, l’écume jaillit, frôlant la mouette volage bien loin des amers remarquables, le désir de toucher terre s’éveille. Dans la banalité grise d’un ciel éteint se profilent les chalands, c'est sans doute ici que le Maître médite, ou bien ailleurs, tous les lieux sont propices aux êtres sans peur de Chronos, les étoiles sont là, guidant sagement les marins vers le rivage, dans une part de nous, habite toujours une étincelle de Vie capable de devenir fanal pour guider dans la nuit noire un cheminant en mal d'Amour filial qui mène souvent dans une impasse, on crée des ancrages qui nous permettent d'apporter plus d’ardeur au sein du véhicule physique, mais le corps comme le mental sont encore des moyens d'expression souvent malhabiles sans allégeance avec l'Esprit Divin qui ne peut faire entendre son chant.
Sur la longue route qui ne peut voir son but, la félicité se glisse à travers les jours sceptiques , dans ces moments de grâce, nous appréhendons par ces instants fugitifs, le fil qui relie et nous lie à tout un chacun. Avançons plus loin, il est temps de s’aventurer dans des territoires inexplorés en revenant à nos racines dans un passé lointain, écoutons le bruit de la sylve, dans les grands arbres s'ébattent une communauté de primates pratiquant l'épouillage et d'autres activités tout aussi basiques, c'est l'heure exquise où les fossoyeurs de la brousse n'ont rien à surveiller du haut des baobabs, un souffle chaud écrase la savane , les prédateurs somnolent mais leurs sens demeurent aux aguets dans la chaleur étouffante densifiée d'humidité, à l'ombre des bosquets, les antilopes rêvent.
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Au loin, nous apercevons un lac perdu entre des pins parasols, couverts de nénuphars, à travers un petit chemin couvert d’épines, nous avançons , le sang coule goutte à goutte sur le sol transformant la terre en un tapis écarlate qui lui aussi se métamorphose en une multitude de pétales de Roses rouges, les douleurs deviennent des doux leurres.....
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MessagePosté le: Sam 21 Juil, 2018 10:24 AM    Sujet du message:

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Fidèle au temps passé, lointain ou proche, peu importe, nous sommes propulsés comme sur la vague qui emporte au loin les bateaux avec à son bord les vieux pochtrons, dans les clapotements furieux des marées, le souffle du vent insensé et la pluie diluvienne furent très bénéfiques, l’écume jaillit, frôlant la mouette volage bien loin des amers remarquables, le désir de toucher terre s’éveille. Dans la banalité grise d’un ciel éteint se profilent les chalands, c'est sans doute ici que le Maître médite, ou bien ailleurs, tous les lieux sont propices aux êtres sans peur de Chronos, les étoiles sont là, guidant sagement les marins vers le rivage, dans une part de nous, habite toujours une étincelle de Vie capable de devenir fanal pour guider dans la nuit noire un cheminant en mal d'Amour filial qui mène souvent dans une impasse, on crée des ancrages qui nous permettent d'apporter plus d’ardeur au sein du véhicule physique, mais le corps comme le mental sont encore des moyens d'expression souvent malhabiles sans allégeance avec l'Esprit Divin qui ne peut faire entendre son chant.
Sur la longue route qui ne peut voir son but, la félicité se glisse à travers les jours sceptiques , dans ces moments de grâce, nous appréhendons par ces instants fugitifs, le fil qui relie et nous lie à tout un chacun. Avançons plus loin, il est temps de s’aventurer dans des territoires inexplorés en revenant à nos racines dans un passé lointain, écoutons le bruit de la sylve, dans les grands arbres s'ébattent une communauté de primates pratiquant l'épouillage et d'autres activités tout aussi basiques, c'est l'heure exquise où les fossoyeurs de la brousse n'ont rien à surveiller du haut des baobabs, un souffle chaud écrase la savane , les prédateurs somnolent mais leurs sens demeurent aux aguets dans la chaleur étouffante densifiée d'humidité, à l'ombre des bosquets, les antilopes rêvent.
D'ardentes imaginations se mettent soudain en scène, au cœur de la Matière, le regard s'ouvre sur les portes de la perception quelque part aux antipodes, l'expansion d'un Univers est achevé, les atomes vont retourner à leur composition simplifiée, l’obscurité du monde n’est qu’une ombre, derrière elle, se trouvent une clarté, une joie ineffable qui sous-tend la Création, les créatures animées ou qui semblent sans vie, du minéral en passant par le végétal, l'animal, l'homme, et les règnes sur d'autres exoplanètes, nous résidons dans le monde du présent, mais nous situons nos esprits sur l’ancienne Voie.
Au loin, nous apercevons un lac perdu entre des pins parasols, couverts de nénuphars, à travers un petit chemin couvert d’épines, nous avançons , le sang coule goutte à goutte sur le sol transformant la terre en un tapis écarlate qui lui aussi se métamorphose en une multitude de pétales de Roses rouges, les douleurs deviennent des doux leurres, nos pieds ailés frôlent le chemin qui devient de plus en plus incertain ..............
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Fidèle au temps passé, lointain ou proche, peu importe, nous sommes propulsés comme sur la vague qui emporte au loin les bateaux avec à son bord les vieux pochtrons, dans les clapotements furieux des marées, le souffle du vent insensé et la pluie diluvienne furent très bénéfiques, l’écume jaillit, frôlant la mouette volage bien loin des amers remarquables, le désir de toucher terre s’éveille. Dans la banalité grise d’un ciel éteint se profilent les chalands, c'est sans doute ici que le Maître médite, ou bien ailleurs, tous les lieux sont propices aux êtres sans peur de Chronos, les étoiles sont là, guidant sagement les marins vers le rivage, dans une part de nous, habite toujours une étincelle de Vie capable de devenir fanal pour guider dans la nuit noire un cheminant en mal d'Amour filial qui mène souvent dans une impasse, on crée des ancrages qui nous permettent d'apporter plus d’ardeur au sein du véhicule physique, mais le corps comme le mental sont encore des moyens d'expression souvent malhabiles sans allégeance avec l'Esprit Divin qui ne peut faire entendre son chant.
Sur la longue route qui ne peut voir son but, la félicité se glisse à travers les jours sceptiques , dans ces moments de grâce, nous appréhendons par ces instants fugitifs, le fil qui relie et nous lie à tout un chacun. Avançons plus loin, il est temps de s’aventurer dans des territoires inexplorés en revenant à nos racines dans un passé lointain, écoutons le bruit de la sylve, dans les grands arbres s'ébattent une communauté de primates pratiquant l'épouillage et d'autres activités tout aussi basiques, c'est l'heure exquise où les fossoyeurs de la brousse n'ont rien à surveiller du haut des baobabs, un souffle chaud écrase la savane , les prédateurs somnolent mais leurs sens demeurent aux aguets dans la chaleur étouffante densifiée d'humidité, à l'ombre des bosquets, les antilopes rêvent.
D'ardentes imaginations se mettent soudain en scène, au cœur de la Matière, le regard s'ouvre sur les portes de la perception quelque part aux antipodes, l'expansion d'un Univers est achevé, les atomes vont retourner à leur composition simplifiée, l’obscurité du monde n’est qu’une ombre, derrière elle, se trouvent une clarté, une joie ineffable qui sous-tend la Création, les créatures animées ou qui semblent sans vie, du minéral en passant par le végétal, l'animal, l'homme, et les règnes sur d'autres exoplanètes, nous résidons dans le monde du présent, mais nous situons nos esprits sur l’ancienne Voie.
Au loin, nous apercevons un lac perdu entre des pins parasols, couverts de nénuphars, à travers un petit chemin couvert d’épines, nous avançons , le sang coule goutte à goutte sur le sol transformant la terre en un tapis écarlate qui lui aussi se métamorphose en une multitude de pétales de Roses rouges, les douleurs deviennent des doux leurres, nos pieds ailés frôlent le chemin qui devient de plus en plus incertain, on s'enfonce dans un monde perdu, parcouru par des vents fantômes chargés d'étranges pollens, les scènes dessinent des scénarios en imbroglios, on s’accroche, les chimères cadencent...
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Fidèle au temps passé, lointain ou proche, peu importe, nous sommes propulsés comme sur la vague qui emporte au loin les bateaux avec à son bord les vieux pochtrons, dans les clapotements furieux des marées, le souffle du vent insensé et la pluie diluvienne furent très bénéfiques, l’écume jaillit, frôlant la mouette volage bien loin des amers remarquables, le désir de toucher terre s’éveille. Dans la banalité grise d’un ciel éteint se profilent les chalands, c'est sans doute ici que le Maître médite, ou bien ailleurs, tous les lieux sont propices aux êtres sans peur de Chronos, les étoiles sont là, guidant sagement les marins vers le rivage, dans une part de nous, habite toujours une étincelle de Vie capable de devenir fanal pour guider dans la nuit noire un cheminant en mal d'Amour filial qui mène souvent dans une impasse, on crée des ancrages qui nous permettent d'apporter plus d’ardeur au sein du véhicule physique, mais le corps comme le mental sont encore des moyens d'expression souvent malhabiles sans allégeance avec l'Esprit Divin qui ne peut faire entendre son chant.
Sur la longue route qui ne peut voir son but, la félicité se glisse à travers les jours sceptiques , dans ces moments de grâce, nous appréhendons par ces instants fugitifs, le fil qui relie et nous lie à tout un chacun. Avançons plus loin, il est temps de s’aventurer dans des territoires inexplorés en revenant à nos racines dans un passé lointain, écoutons le bruit de la sylve, dans les grands arbres s'ébattent une communauté de primates pratiquant l'épouillage et d'autres activités tout aussi basiques, c'est l'heure exquise où les fossoyeurs de la brousse n'ont rien à surveiller du haut des baobabs, un souffle chaud écrase la savane , les prédateurs somnolent mais leurs sens demeurent aux aguets dans la chaleur étouffante densifiée d'humidité, à l'ombre des bosquets, les antilopes rêvent.
D'ardentes imaginations se mettent soudain en scène, au cœur de la Matière, le regard s'ouvre sur les portes de la perception quelque part aux antipodes, l'expansion d'un Univers est achevé, les atomes vont retourner à leur composition simplifiée, l’obscurité du monde n’est qu’une ombre, derrière elle, se trouvent une clarté, une joie ineffable qui sous-tend la Création, les créatures animées ou qui semblent sans vie, du minéral en passant par le végétal, l'animal, l'homme, et les règnes sur d'autres exoplanètes, nous résidons dans le monde du présent, mais nous situons nos esprits sur l’ancienne Voie.
Au loin, nous apercevons un lac perdu entre des pins parasols, couverts de nénuphars, à travers un petit chemin couvert d’épines, nous avançons , le sang coule goutte à goutte sur le sol transformant la terre en un tapis écarlate qui lui aussi se métamorphose en une multitude de pétales de Roses rouges, les douleurs deviennent des doux leurres, nos pieds ailés frôlent le chemin qui devient de plus en plus incertain, on s'enfonce dans un monde perdu, parcouru par des vents fantômes chargés d'étranges pollens, les scènes dessinent des scénarios en imbroglios, on s’accroche, les chimères cadencent notre marche insensée de leur mélopée gutturale, des relents méphitiques planent dans l'air créant un malaise dans cette scène onirique....
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Fidèle au temps passé, lointain ou proche, peu importe, nous sommes propulsés comme sur la vague qui emporte au loin les bateaux avec à son bord les vieux pochtrons, dans les clapotements furieux des marées, le souffle du vent insensé et la pluie diluvienne furent très bénéfiques, l’écume jaillit, frôlant la mouette volage bien loin des amers remarquables, le désir de toucher terre s’éveille. Dans la banalité grise d’un ciel éteint se profilent les chalands, c'est sans doute ici que le Maître médite, ou bien ailleurs, tous les lieux sont propices aux êtres sans peur de Chronos, les étoiles sont là, guidant sagement les marins vers le rivage, dans une part de nous, habite toujours une étincelle de Vie capable de devenir fanal pour guider dans la nuit noire un cheminant en mal d'Amour filial qui mène souvent dans une impasse, on crée des ancrages qui nous permettent d'apporter plus d’ardeur au sein du véhicule physique, mais le corps comme le mental sont encore des moyens d'expression souvent malhabiles sans allégeance avec l'Esprit Divin qui ne peut faire entendre son chant.
Sur la longue route qui ne peut voir son but, la félicité se glisse à travers les jours sceptiques , dans ces moments de grâce, nous appréhendons par ces instants fugitifs, le fil qui relie et nous lie à tout un chacun. Avançons plus loin, il est temps de s’aventurer dans des territoires inexplorés en revenant à nos racines dans un passé lointain, écoutons le bruit de la sylve, dans les grands arbres s'ébattent une communauté de primates pratiquant l'épouillage et d'autres activités tout aussi basiques, c'est l'heure exquise où les fossoyeurs de la brousse n'ont rien à surveiller du haut des baobabs, un souffle chaud écrase la savane , les prédateurs somnolent mais leurs sens demeurent aux aguets dans la chaleur étouffante densifiée d'humidité, à l'ombre des bosquets, les antilopes rêvent.
D'ardentes imaginations se mettent soudain en scène, au cœur de la Matière, le regard s'ouvre sur les portes de la perception quelque part aux antipodes, l'expansion d'un Univers est achevé, les atomes vont retourner à leur composition simplifiée, l’obscurité du monde n’est qu’une ombre, derrière elle, se trouvent une clarté, une joie ineffable qui sous-tend la Création, les créatures animées ou qui semblent sans vie, du minéral en passant par le végétal, l'animal, l'homme, et les règnes sur d'autres exoplanètes, nous résidons dans le monde du présent, mais nous situons nos esprits sur l’ancienne Voie.
Au loin, nous apercevons un lac perdu entre des pins parasols, couverts de nénuphars, à travers un petit chemin couvert d’épines, nous avançons , le sang coule goutte à goutte sur le sol transformant la terre en un tapis écarlate qui lui aussi se métamorphose en une multitude de pétales de Roses rouges, les douleurs deviennent des doux leurres, nos pieds ailés frôlent le chemin qui devient de plus en plus incertain, on s'enfonce dans un monde perdu, parcouru par des vents fantômes chargés d'étranges pollens, les scènes dessinent des scénarios en imbroglios, on s’accroche, les chimères cadencent notre marche insensée de leur mélopée gutturale, des relents méphitiques planent dans l'air créant un malaise dans cette scène onirique, il pleut des ficelles de ténèbres électriques, nos cris apeurés tirent hors d'un trou une étrange créature...
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Fidèle au temps passé, lointain ou proche, peu importe, nous sommes propulsés comme sur la vague qui emporte au loin les bateaux avec à son bord les vieux pochtrons, dans les clapotements furieux des marées, le souffle du vent insensé et la pluie diluvienne furent très bénéfiques, l’écume jaillit, frôlant la mouette volage bien loin des amers remarquables, le désir de toucher terre s’éveille. Dans la banalité grise d’un ciel éteint se profilent les chalands, c'est sans doute ici que le Maître médite, ou bien ailleurs, tous les lieux sont propices aux êtres sans peur de Chronos, les étoiles sont là, guidant sagement les marins vers le rivage, dans une part de nous, habite toujours une étincelle de Vie capable de devenir fanal pour guider dans la nuit noire un cheminant en mal d'Amour filial qui mène souvent dans une impasse, on crée des ancrages qui nous permettent d'apporter plus d’ardeur au sein du véhicule physique, mais le corps comme le mental sont encore des moyens d'expression souvent malhabiles sans allégeance avec l'Esprit Divin qui ne peut faire entendre son chant.
Sur la longue route qui ne peut voir son but, la félicité se glisse à travers les jours sceptiques , dans ces moments de grâce, nous appréhendons par ces instants fugitifs, le fil qui relie et nous lie à tout un chacun. Avançons plus loin, il est temps de s’aventurer dans des territoires inexplorés en revenant à nos racines dans un passé lointain, écoutons le bruit de la sylve, dans les grands arbres s'ébattent une communauté de primates pratiquant l'épouillage et d'autres activités tout aussi basiques, c'est l'heure exquise où les fossoyeurs de la brousse n'ont rien à surveiller du haut des baobabs, un souffle chaud écrase la savane , les prédateurs somnolent mais leurs sens demeurent aux aguets dans la chaleur étouffante densifiée d'humidité, à l'ombre des bosquets, les antilopes rêvent.
D'ardentes imaginations se mettent soudain en scène, au cœur de la Matière, le regard s'ouvre sur les portes de la perception quelque part aux antipodes, l'expansion d'un Univers est achevé, les atomes vont retourner à leur composition simplifiée, l’obscurité du monde n’est qu’une ombre, derrière elle, se trouvent une clarté, une joie ineffable qui sous-tend la Création, les créatures animées ou qui semblent sans vie, du minéral en passant par le végétal, l'animal, l'homme, et les règnes sur d'autres exoplanètes, nous résidons dans le monde du présent, mais nous situons nos esprits sur l’ancienne Voie.
Au loin, nous apercevons un lac perdu entre des pins parasols, couverts de nénuphars, à travers un petit chemin couvert d’épines, nous avançons , le sang coule goutte à goutte sur le sol transformant la terre en un tapis écarlate qui lui aussi se métamorphose en une multitude de pétales de Roses rouges, les douleurs deviennent des doux leurres, nos pieds ailés frôlent le chemin qui devient de plus en plus incertain, on s'enfonce dans un monde perdu, parcouru par des vents fantômes chargés d'étranges pollens, les scènes dessinent des scénarios en imbroglios, on s’accroche, les chimères cadencent notre marche insensée de leur mélopée gutturale, des relents méphitiques planent dans l'air créant un malaise dans cette scène onirique, il pleut des ficelles de ténèbres électriques, nos cris apeurés tirent hors d'un trou une étrange créature avec de grandes oreilles et trois cheveux sur la tête.
Non , non, ce n'est pas Yoda car son nez ressemble à une courgette qui s'allume quand il nous interpelle ainsi :
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ondine
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MessagePosté le: Lun 23 Juil, 2018 07:12 AM    Sujet du message:

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Dans les couloirs du temps qui passe chemine péniblement le Maître du Temps. Il y a des portes qui nous attirent comme un voyageur devant une lumière qui exhorte tout un chacun à laisser aller les choses à ses envies, quelques repères d'un scénario reviennent de temps en temps à la mémoire, dans lesquels apparurent de nombreux symboles, des formes destinées à se métamorphoser, un sentiment d'inventivité, de don de soi exprimé, d'une aura qui brille de l'intérieur, des visions se présentent spontanément dans l’espace infini de l’imagination.
Fidèle au temps passé, lointain ou proche, peu importe, nous sommes propulsés comme sur la vague qui emporte au loin les bateaux avec à son bord les vieux pochtrons, dans les clapotements furieux des marées, le souffle du vent insensé et la pluie diluvienne furent très bénéfiques, l’écume jaillit, frôlant la mouette volage bien loin des amers remarquables, le désir de toucher terre s’éveille. Dans la banalité grise d’un ciel éteint se profilent les chalands, c'est sans doute ici que le Maître médite, ou bien ailleurs, tous les lieux sont propices aux êtres sans peur de Chronos, les étoiles sont là, guidant sagement les marins vers le rivage, dans une part de nous, habite toujours une étincelle de Vie capable de devenir fanal pour guider dans la nuit noire un cheminant en mal d'Amour filial qui mène souvent dans une impasse, on crée des ancrages qui nous permettent d'apporter plus d’ardeur au sein du véhicule physique, mais le corps comme le mental sont encore des moyens d'expression souvent malhabiles sans allégeance avec l'Esprit Divin qui ne peut faire entendre son chant.
Sur la longue route qui ne peut voir son but, la félicité se glisse à travers les jours sceptiques , dans ces moments de grâce, nous appréhendons par ces instants fugitifs, le fil qui relie et nous lie à tout un chacun. Avançons plus loin, il est temps de s’aventurer dans des territoires inexplorés en revenant à nos racines dans un passé lointain, écoutons le bruit de la sylve, dans les grands arbres s'ébattent une communauté de primates pratiquant l'épouillage et d'autres activités tout aussi basiques, c'est l'heure exquise où les fossoyeurs de la brousse n'ont rien à surveiller du haut des baobabs, un souffle chaud écrase la savane , les prédateurs somnolent mais leurs sens demeurent aux aguets dans la chaleur étouffante densifiée d'humidité, à l'ombre des bosquets, les antilopes rêvent.
D'ardentes imaginations se mettent soudain en scène, au cœur de la Matière, le regard s'ouvre sur les portes de la perception quelque part aux antipodes, l'expansion d'un Univers est achevé, les atomes vont retourner à leur composition simplifiée, l’obscurité du monde n’est qu’une ombre, derrière elle, se trouvent une clarté, une joie ineffable qui sous-tend la Création, les créatures animées ou qui semblent sans vie, du minéral en passant par le végétal, l'animal, l'homme, et les règnes sur d'autres exoplanètes, nous résidons dans le monde du présent, mais nous situons nos esprits sur l’ancienne Voie.
Au loin, nous apercevons un lac perdu entre des pins parasols, couverts de nénuphars, à travers un petit chemin couvert d’épines, nous avançons , le sang coule goutte à goutte sur le sol transformant la terre en un tapis écarlate qui lui aussi se métamorphose en une multitude de pétales de Roses rouges, les douleurs deviennent des doux leurres, nos pieds ailés frôlent le chemin qui devient de plus en plus incertain, on s'enfonce dans un monde perdu, parcouru par des vents fantômes chargés d'étranges pollens, les scènes dessinent des scénarios en imbroglios, on s’accroche, les chimères cadencent notre marche insensée de leur mélopée gutturale, des relents méphitiques planent dans l'air créant un malaise dans cette scène onirique, il pleut des ficelles de ténèbres électriques, nos cris apeurés tirent hors d'un trou une étrange créature avec de grandes oreilles et trois cheveux sur la tête.
Non, non, ce n'est pas Yoda car son nez ressemble à une courgette qui s'allume quand il nous interpelle ainsi : Bouh...Ben euh...Fichtre...c'est une hideuse manticore qui se pointe et hisse la tête,...Vite...protégeons nos corps, sa queue s'agite dans le vide en tordant vers le haut la fourche vénéneuse qui en arme la pointe, la détestable bête...
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ondine
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MessagePosté le: Mar 24 Juil, 2018 07:19 AM    Sujet du message:

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Dans les couloirs du temps qui passe chemine péniblement le Maître du Temps. Il y a des portes qui nous attirent comme un voyageur devant une lumière qui exhorte tout un chacun à laisser aller les choses à ses envies, quelques repères d'un scénario reviennent de temps en temps à la mémoire, dans lesquels apparurent de nombreux symboles, des formes destinées à se métamorphoser, un sentiment d'inventivité, de don de soi exprimé, d'une aura qui brille de l'intérieur, des visions se présentent spontanément dans l’espace infini de l’imagination.
Fidèle au temps passé, lointain ou proche, peu importe, nous sommes propulsés comme sur la vague qui emporte au loin les bateaux avec à son bord les vieux pochtrons, dans les clapotements furieux des marées, le souffle du vent insensé et la pluie diluvienne furent très bénéfiques, l’écume jaillit, frôlant la mouette volage bien loin des amers remarquables, le désir de toucher terre s’éveille. Dans la banalité grise d’un ciel éteint se profilent les chalands, c'est sans doute ici que le Maître médite, ou bien ailleurs, tous les lieux sont propices aux êtres sans peur de Chronos, les étoiles sont là, guidant sagement les marins vers le rivage, dans une part de nous, habite toujours une étincelle de Vie capable de devenir fanal pour guider dans la nuit noire un cheminant en mal d'Amour filial qui mène souvent dans une impasse, on crée des ancrages qui nous permettent d'apporter plus d’ardeur au sein du véhicule physique, mais le corps comme le mental sont encore des moyens d'expression souvent malhabiles sans allégeance avec l'Esprit Divin qui ne peut faire entendre son chant.
Sur la longue route qui ne peut voir son but, la félicité se glisse à travers les jours sceptiques , dans ces moments de grâce, nous appréhendons par ces instants fugitifs, le fil qui relie et nous lie à tout un chacun. Avançons plus loin, il est temps de s’aventurer dans des territoires inexplorés en revenant à nos racines dans un passé lointain, écoutons le bruit de la sylve, dans les grands arbres s'ébattent une communauté de primates pratiquant l'épouillage et d'autres activités tout aussi basiques, c'est l'heure exquise où les fossoyeurs de la brousse n'ont rien à surveiller du haut des baobabs, un souffle chaud écrase la savane , les prédateurs somnolent mais leurs sens demeurent aux aguets dans la chaleur étouffante densifiée d'humidité, à l'ombre des bosquets, les antilopes rêvent.
D'ardentes imaginations se mettent soudain en scène, au cœur de la Matière, le regard s'ouvre sur les portes de la perception quelque part aux antipodes, l'expansion d'un Univers est achevé, les atomes vont retourner à leur composition simplifiée, l’obscurité du monde n’est qu’une ombre, derrière elle, se trouvent une clarté, une joie ineffable qui sous-tend la Création, les créatures animées ou qui semblent sans vie, du minéral en passant par le végétal, l'animal, l'homme, et les règnes sur d'autres exoplanètes, nous résidons dans le monde du présent, mais nous situons nos esprits sur l’ancienne Voie.
Au loin, nous apercevons un lac perdu entre des pins parasols, couverts de nénuphars, à travers un petit chemin couvert d’épines, nous avançons , le sang coule goutte à goutte sur le sol transformant la terre en un tapis écarlate qui lui aussi se métamorphose en une multitude de pétales de Roses rouges, les douleurs deviennent des doux leurres, nos pieds ailés frôlent le chemin qui devient de plus en plus incertain, on s'enfonce dans un monde perdu, parcouru par des vents fantômes chargés d'étranges pollens, les scènes dessinent des scénarios en imbroglios, on s’accroche, les chimères cadencent notre marche insensée de leur mélopée gutturale, des relents méphitiques planent dans l'air créant un malaise dans cette scène onirique, il pleut des ficelles de ténèbres électriques, nos cris apeurés tirent hors d'un trou une étrange créature avec de grandes oreilles et trois cheveux sur la tête.
Non , non, ce n'est pas Yoda car son nez ressemble à une courgette qui s'allume quand il nous interpelle ainsi : NON...Bouh...Bigre...c'est une hideuse manticore qui se pointe et hisse la tête,...Vite...protégeons nos corps, sa queue s'agite dans le vide en tordant vers le haut la fourche vénéneuse qui en arme la pointe, la détestable bête...Ouais, ho, hé, hein, ça va...la réalité dans laquelle nous sommes a été déviée, amplifiant nos visions de chimères, oublions ce passage obscur, nos prières ont reçu réponse du fond de l’éther, les exilés poursuivent...
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Hantias
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MessagePosté le: Mar 24 Juil, 2018 15:35 PM    Sujet du message:

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Dans les couloirs du temps qui passe chemine péniblement le Maître du Temps. Il y a des portes qui nous attirent comme un voyageur devant une lumière qui exhorte tout un chacun à laisser aller les choses à ses envies, quelques repères d'un scénario reviennent de temps en temps à la mémoire, dans lesquels apparurent de nombreux symboles, des formes destinées à se métamorphoser, un sentiment d'inventivité, de don de soi exprimé, d'une aura qui brille de l'intérieur, des visions se présentent spontanément dans l’espace infini de l’imagination.
Fidèle au temps passé, lointain ou proche, peu importe, nous sommes propulsés comme sur la vague qui emporte au loin les bateaux avec à son bord les vieux pochtrons, dans les clapotements furieux des marées, le souffle du vent insensé et la pluie diluvienne furent très bénéfiques, l’écume jaillit, frôlant la mouette volage bien loin des amers remarquables, le désir de toucher terre s’éveille. Dans la banalité grise d’un ciel éteint se profilent les chalands, c'est sans doute ici que le Maître médite, ou bien ailleurs, tous les lieux sont propices aux êtres sans peur de Chronos, les étoiles sont là, guidant sagement les marins vers le rivage, dans une part de nous, habite toujours une étincelle de Vie capable de devenir fanal pour guider dans la nuit noire un cheminant en mal d'Amour filial qui mène souvent dans une impasse, on crée des ancrages qui nous permettent d'apporter plus d’ardeur au sein du véhicule physique, mais le corps comme le mental sont encore des moyens d'expression souvent malhabiles sans allégeance avec l'Esprit Divin qui ne peut faire entendre son chant.
Sur la longue route qui ne peut voir son but, la félicité se glisse à travers les jours sceptiques , dans ces moments de grâce, nous appréhendons par ces instants fugitifs, le fil qui relie et nous lie à tout un chacun. Avançons plus loin, il est temps de s’aventurer dans des territoires inexplorés en revenant à nos racines dans un passé lointain, écoutons le bruit de la sylve, dans les grands arbres s'ébattent une communauté de primates pratiquant l'épouillage et d'autres activités tout aussi basiques, c'est l'heure exquise où les fossoyeurs de la brousse n'ont rien à surveiller du haut des baobabs, un souffle chaud écrase la savane , les prédateurs somnolent mais leurs sens demeurent aux aguets dans la chaleur étouffante densifiée d'humidité, à l'ombre des bosquets, les antilopes rêvent.
D'ardentes imaginations se mettent soudain en scène, au cœur de la Matière, le regard s'ouvre sur les portes de la perception quelque part aux antipodes, l'expansion d'un Univers est achevé, les atomes vont retourner à leur composition simplifiée, l’obscurité du monde n’est qu’une ombre, derrière elle, se trouvent une clarté, une joie ineffable qui sous-tend la Création, les créatures animées ou qui semblent sans vie, du minéral en passant par le végétal, l'animal, l'homme, et les règnes sur d'autres exoplanètes, nous résidons dans le monde du présent, mais nous situons nos esprits sur l’ancienne Voie.
Au loin, nous apercevons un lac perdu entre des pins parasols, couverts de nénuphars, à travers un petit chemin couvert d’épines, nous avançons , le sang coule goutte à goutte sur le sol transformant la terre en un tapis écarlate qui lui aussi se métamorphose en une multitude de pétales de Roses rouges, les douleurs deviennent des doux leurres, nos pieds ailés frôlent le chemin qui devient de plus en plus incertain, on s'enfonce dans un monde perdu, parcouru par des vents fantômes chargés d'étranges pollens, les scènes dessinent des scénarios en imbroglios, on s’accroche, les chimères cadencent notre marche insensée de leur mélopée gutturale, des relents méphitiques planent dans l'air créant un malaise dans cette scène onirique, il pleut des ficelles de ténèbres électriques, nos cris apeurés tirent hors d'un trou une étrange créature avec de grandes oreilles et trois cheveux sur la tête.
Non , non, ce n'est pas Yoda car son nez ressemble à une courgette qui s'allume quand il nous interpelle ainsi : NON...Bouh...Bigre...c'est une hideuse manticore qui se pointe et hisse la tête,...Vite...protégeons nos corps, sa queue s'agite dans le vide en tordant vers le haut la fourche vénéneuse qui en arme la pointe, la détestable bête...Ouais, ho, hé, hein, ça va...la réalité dans laquelle nous sommes a été déviée, amplifiant nos visions de chimères, oublions ce passage obscur, nos prières ont reçu réponse du fond de l’éther, les exilés poursuivent et chantent à pleine voix -hé ho, hé ho, on rentre du boulot avec dans notre dos, un sac plein de nectar, du Chouchen de Landerneau ...
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MessagePosté le: Mar 24 Juil, 2018 17:55 PM    Sujet du message:

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Fidèle au temps passé, lointain ou proche, peu importe, nous sommes propulsés comme sur la vague qui emporte au loin les bateaux avec à son bord les vieux pochtrons, dans les clapotements furieux des marées, le souffle du vent insensé et la pluie diluvienne furent très bénéfiques, l’écume jaillit, frôlant la mouette volage bien loin des amers remarquables, le désir de toucher terre s’éveille. Dans la banalité grise d’un ciel éteint se profilent les chalands, c'est sans doute ici que le Maître médite, ou bien ailleurs, tous les lieux sont propices aux êtres sans peur de Chronos, les étoiles sont là, guidant sagement les marins vers le rivage, dans une part de nous, habite toujours une étincelle de Vie capable de devenir fanal pour guider dans la nuit noire un cheminant en mal d'Amour filial qui mène souvent dans une impasse, on crée des ancrages qui nous permettent d'apporter plus d’ardeur au sein du véhicule physique, mais le corps comme le mental sont encore des moyens d'expression souvent malhabiles sans allégeance avec l'Esprit Divin qui ne peut faire entendre son chant.
Sur la longue route qui ne peut voir son but, la félicité se glisse à travers les jours sceptiques , dans ces moments de grâce, nous appréhendons par ces instants fugitifs, le fil qui relie et nous lie à tout un chacun. Avançons plus loin, il est temps de s’aventurer dans des territoires inexplorés en revenant à nos racines dans un passé lointain, écoutons le bruit de la sylve, dans les grands arbres s'ébattent une communauté de primates pratiquant l'épouillage et d'autres activités tout aussi basiques, c'est l'heure exquise où les fossoyeurs de la brousse n'ont rien à surveiller du haut des baobabs, un souffle chaud écrase la savane , les prédateurs somnolent mais leurs sens demeurent aux aguets dans la chaleur étouffante densifiée d'humidité, à l'ombre des bosquets, les antilopes rêvent.
D'ardentes imaginations se mettent soudain en scène, au cœur de la Matière, le regard s'ouvre sur les portes de la perception quelque part aux antipodes, l'expansion d'un Univers est achevé, les atomes vont retourner à leur composition simplifiée, l’obscurité du monde n’est qu’une ombre, derrière elle, se trouvent une clarté, une joie ineffable qui sous-tend la Création, les créatures animées ou qui semblent sans vie, du minéral en passant par le végétal, l'animal, l'homme, et les règnes sur d'autres exoplanètes, nous résidons dans le monde du présent, mais nous situons nos esprits sur l’ancienne Voie.
Au loin, nous apercevons un lac perdu entre des pins parasols, couverts de nénuphars, à travers un petit chemin couvert d’épines, nous avançons , le sang coule goutte à goutte sur le sol transformant la terre en un tapis écarlate qui lui aussi se métamorphose en une multitude de pétales de Roses rouges, les douleurs deviennent des doux leurres, nos pieds ailés frôlent le chemin qui devient de plus en plus incertain, on s'enfonce dans un monde perdu, parcouru par des vents fantômes chargés d'étranges pollens, les scènes dessinent des scénarios en imbroglios, on s’accroche, les chimères cadencent notre marche insensée de leur mélopée gutturale, des relents méphitiques planent dans l'air créant un malaise dans cette scène onirique, il pleut des ficelles de ténèbres électriques, nos cris apeurés tirent hors d'un trou une étrange créature avec de grandes oreilles et trois cheveux sur la tête.
Non , non, ce n'est pas Yoda car son nez ressemble à une courgette qui s'allume quand il nous interpelle ainsi : NON...Bouh...Bigre...c'est une hideuse manticore qui se pointe et hisse la tête,...Vite...protégeons nos corps, sa queue s'agite dans le vide en tordant vers le haut la fourche vénéneuse qui en arme la pointe, la détestable bête...Ouais, ho, hé, hein, ça va...la réalité dans laquelle nous sommes a été déviée, amplifiant nos visions de chimères, oublions ce passage obscur, nos prières ont reçu réponse du fond de l’éther, les exilés poursuivent et chantent à pleine voix -hé ho, hé ho, on rentre du boulot avec dans notre dos, un sac plein de nectar, du Chouchen de Landerneau; mais l'ivresse ne peut être éternelle, seul l'accomplissement d'un projet longuement élaboré peut nous mettre dans un état d'exaltation partagé....
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MessagePosté le: Mer 25 Juil, 2018 07:28 AM    Sujet du message:

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Dans les couloirs du temps qui passe chemine péniblement le Maître du Temps. Il y a des portes qui nous attirent comme un voyageur devant une lumière qui exhorte tout un chacun à laisser aller les choses à ses envies, quelques repères d'un scénario reviennent de temps en temps à la mémoire, dans lesquels apparurent de nombreux symboles, des formes destinées à se métamorphoser, un sentiment d'inventivité, de don de soi exprimé, d'une aura qui brille de l'intérieur, des visions se présentent spontanément dans l’espace infini de l’imagination.
Fidèle au temps passé, lointain ou proche, peu importe, nous sommes propulsés comme sur la vague qui emporte au loin les bateaux avec à son bord les vieux pochtrons, dans les clapotements furieux des marées, le souffle du vent insensé et la pluie diluvienne furent très bénéfiques, l’écume jaillit, frôlant la mouette volage bien loin des amers remarquables, le désir de toucher terre s’éveille. Dans la banalité grise d’un ciel éteint se profilent les chalands, c'est sans doute ici que le Maître médite, ou bien ailleurs, tous les lieux sont propices aux êtres sans peur de Chronos, les étoiles sont là, guidant sagement les marins vers le rivage, dans une part de nous, habite toujours une étincelle de Vie capable de devenir fanal pour guider dans la nuit noire un cheminant en mal d'Amour filial qui mène souvent dans une impasse, on crée des ancrages qui nous permettent d'apporter plus d’ardeur au sein du véhicule physique, mais le corps comme le mental sont encore des moyens d'expression souvent malhabiles sans allégeance avec l'Esprit Divin qui ne peut faire entendre son chant.
Sur la longue route qui ne peut voir son but, la félicité se glisse à travers les jours sceptiques, dans ces moments de grâce, nous appréhendons par ces instants fugitifs, le fil qui relie et nous lie à tout un chacun. Avançons plus loin, il est temps de s’aventurer dans des territoires inexplorés en revenant à nos racines dans un passé lointain, écoutons le bruit de la sylve, dans les grands arbres s'ébattent une communauté de primates pratiquant l'épouillage et d'autres activités tout aussi basiques, c'est l'heure exquise où les fossoyeurs de la brousse n'ont rien à surveiller du haut des baobabs, un souffle chaud écrase la savane, les prédateurs somnolent mais leurs sens demeurent aux aguets dans la chaleur étouffante densifiée d'humidité, à l'ombre des bosquets, les antilopes rêvent.
D'ardentes imaginations se mettent soudain en scène, au cœur de la Matière, le regard s'ouvre sur les portes de la perception quelque part aux antipodes, l'expansion d'un Univers est achevé, les atomes vont retourner à leur composition simplifiée, l’obscurité du monde n’est qu’une ombre, derrière elle, se trouvent une clarté, une joie ineffable qui sous-tend la Création, les créatures animées ou qui semblent sans vie, du minéral en passant par le végétal, l'animal, l'homme, et les règnes sur d'autres exoplanètes, nous résidons dans le monde du présent, mais nous situons nos esprits sur l’ancienne Voie.
Au loin, nous apercevons un lac perdu entre des pins parasols, couverts de nénuphars, à travers un petit chemin couvert d’épines, nous avançons, le sang coule goutte à goutte sur le sol transformant la terre en un tapis écarlate qui lui aussi se métamorphose en une multitude de pétales de Roses rouges, les douleurs deviennent des doux leurres, nos pieds ailés frôlent le chemin qui devient de plus en plus incertain, on s'enfonce dans un monde perdu, parcouru par des vents fantômes chargés d'étranges pollens, les scènes dessinent des scénarios en imbroglios, on s’accroche, les chimères cadencent notre marche insensée de leur mélopée gutturale, des relents méphitiques planent dans l'air créant un malaise dans cette scène onirique, il pleut des ficelles de ténèbres électriques, nos cris apeurés tirent hors d'un trou une étrange créature avec de grandes oreilles et trois cheveux sur la tête.
Non , non, ce n'est pas Yoda car son nez ressemble à une courgette qui s'allume quand il nous interpelle ainsi : NON...Bouh...Bigre...c'est une hideuse manticore qui se pointe et hisse la tête,...Vite...protégeons nos corps, sa queue s'agite dans le vide en tordant vers le haut la fourche vénéneuse qui en arme la pointe, la détestable bête...Ouais, ho, hé, hein, ça va...la réalité dans laquelle nous sommes a été déviée, amplifiant nos visions de chimères, oublions ce passage obscur, nos prières ont reçu réponse du fond de l’éther, les exilés poursuivent et chantent à pleine voix -hé ho, hé ho, on rentre du boulot avec dans notre dos, un sac plein de nectar, du Chouchen de Landerneau; mais l'ivresse ne peut être éternelle, seul l'accomplissement d'un projet longuement élaboré peut nous mettre dans un état d'exaltation partagé, il est indispensable de se détourner des séductions subjectives.
Dans l'horizon sans fin qui jamais ne s'approche, les jambes alanguies, surgit un gnome, nous guidant...oh délice...! vers une grotte...
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